vendredi 7 février 2014

Texte : Les pulsations cadencent le vide

Mon âme isolée dans ce silence torpide ;
Je crie... les pulsations cadencent le vide ;
Un éclair, un arbre brûlé, un cœur percé  ;
Dans les cendres, sans battements, un ange effacé ;
Aux entrailles consumées succombe une larme ;
Perle glacée qui goutte, couvrant le vacarme.

J'ai crié si fort...
Que ton nom en est mort.

Eleonore

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